centre européen de prévention et de contrôle des maladies
Crééen 2005 et situé à Stockholm, en Suède, le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) est l’agence de l’Union européenne chargée de renforcer les défenses de l’Europe contre les maladies infectieuses. Il identifie, évalue et signale les menaces actuelles et émergentes pour la santé humaine que
Crééen 2005 et situé à Stockholm, en Suède, le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies est l’agence de l’Union européenne chargée de renforcer les défenses de l’Europe contre les maladies infectieuses. Il identifie, évalue et signale les menaces actuelles et émergentes pour la santé humaine que posent les
Application De Rencontre Gratuit Pour Iphone. Le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies à Stockholm le 27 mars 2020. - JONATHAN NACKSTRAND / AFPCette annonce du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies intervient alors que plusieurs cas de cette infection ont été recensés sur le sol européen depuis début mai. La variole du singe est normalement cantonnée au continent risque de contagion de la variole du singe est "très faible" dans la population en général mais "élevé" chez les personnes ayant plusieurs partenaires sexuels, a estimé lundi l'agence de l'Union européenne chargée des maladies."Pour la population en général, la probabilité de contagion est très faible", indique le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies ECDC dans sa première évaluation des risques depuis l'apparition inhabituelle de dizaines de cas en Europe et en Amérique du Nord."Toutefois, la probabilité de transmission du virus en cas de contact proche, par exemple durant des rapports sexuels avec des personnes ayant plusieurs partenaires, est considéré comme élevé", souligne l' des cas recommandéLa variole du singe se traduit d'abord par une forte fièvre et évolue rapidement en éruption cutanée, avec la formation de croutes, notamment sur le visage. L'ECDC recommande l'isolement de tous les cas jusqu'à ce que les lésions provoquées par la maladie "soient complètement guéries".Au total, 85 cas ont été recensés jusqu'ici dans huit pays de l'UE France, Belgique, Allemagne, Italie, Pays-Bas, Espagne, Portugal et Suède, selon l'ECDC. Les autorités sanitaires au Danemark ont par ailleurs annoncé un premier cas maladie, cousine moins dangereuse de la variole éradiquée depuis une quarantaine d'année, est endémique en Afrique de l'Ouest et en Afrique centrale. Mais la multiplication des cas hors de la zone de diffusion habituelle inquiète les cas ont également déjà été enregistrés au Royaume-Uni, aux Etats-Unis, au Canada et en Australie. Outre les relations sexuelles, des contacts de muqueuses ou de plaies infectées, ou encore de grosses gouttelettes transmises lors d'un face-à-face prolongé sont considérés comme des vecteurs possibles, selon l' d'une transmission aux animaux sur le sol européen"Je suis préoccupée par la hausse du nombre de cas signalés de variole du singe dans l'UE et au niveau mondial", a commenté la commissaire européenne à la Santé, Stella Kyriakides, citée dans un communiqué de l'ECDC."Nous suivons la situation de près, et même si la probabilité d'une contagion à la population générale est faible, la situation évolue", a-t-elle prévenu. Si la plupart des cas sont peu graves, la variole du singe peut l'être chez les jeunes enfants, les femmes enceintes et les personnes immunodéprimées, souligne l' européenne appelle également à la vigilance sur une éventuelle transmission de l'homme à l'animal. "Si une transmission de l'humain à l'animal se produit, et que le virus se diffuse dans la population animale, il y a un risque que la maladie devienne endémique en Europe", du singe 2889 cas confirmés et plus de doses livrées dans l'HexagoneVariole du singe l'Agence européenne du médicament autorise une nouvelle technique d'injection d'un vaccinLes États-Unis vont distribuer des vaccins contre la variole du singe lors des Gay Prides
RÉPONSE EUROPÉENNE AU COVID-19 / SantÉ Coronavirus, le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies publie une sixième évaluation des risques beaucoup plus alarmante Bruxelles, 12/03/2020 Agence Europe Le Centre européen de prévention et contrôle des maladies ECDC, qui vient de publier, jeudi 12 mars, une nouvelle évaluation du risque généré par la diffusion du coronavirus, recommande à son tour de suspendre les rassemblements de foule et d'encourager le télétravail pour contrer la propagation du virus. L'analyse de l'ECDC s'appuie notamment sur celle de l'Organisation mondiale de la santé OMS, qui parle maintenant de pandémie ». Cette nouvelle évaluation, la...
La commissaire européenne à la Santé, Stella Kyriakides, a écrit aux ministres de la Santé des 27 États membres, appelant à lancer une action renforcée et coordonnée au niveau de l'UE en ce qui concerne la variole du singe. La Commission souhaite que chaque État rapporte au niveau européen, de la manière la plus complète possible, les cas qui se manifestent sur son territoire, et organise un "contact tracing" et des campagnes de communication, à l'instar de ce qui a été fait avec le coronavirus.
Accord sur un cadre commun pour les tests de dépistage de la COVID-19 Protéger la santé publique durant une pandémie Informations sur les mesures de santé publique des États membres La COVID-19 est une maladie extrêmement contagieuse. Chacun a la responsabilité de réduire la propagation et doit prendre des précautions simples. Vous devez vous protéger et protéger les personnes qui vous trouverez des informations sur les mesures de santé publique spécifiques à votre pays en consultant les sites web nationaux sur la COVID-19. Sites web des États membres sur la COVID-19 La pandémie de COVID-19 touche tous les États membres de l'UE. La COVID-19 est une maladie extrêmement contagieuse. La protection de la santé publique ainsi que de la santé et du bien-être des citoyens de l'UE est la priorité absolue de l' et ses États membres ont développé une approche commune pour des vaccins sûrs contre la COVID-19 ainsi que pour coordonner les stratégies de dépistage et faciliter la fourniture d'équipements médicaux et de protection dans toute l' que la vaccination a commencé en décembre 2020, la pandémie touche toujours les pays de l'UE. Les dirigeants européens se réunissent régulièrement pour échanger des stratégies et coordonner les efforts déployés collectivement par l'UE pour limiter la propagation du virus et soutenir nos systèmes de soins de santé. Leurs discussions se concentrent sur différents volets en coursles stratégies de dépistage et le recours aux tests rapides de détection d'antigènesla reconnaissance mutuelle des testsle déploiement de la vaccinationune approche commune en ce qui concerne les restrictions en matière de déplacements et d'autres mesures de santé publiqueCertificats de vaccination Étant donné que la situation épidémiologique en Europe demeure préoccupante malgré tous les efforts déployés, les dirigeants de l'UE continuent à aborder régulièrement la question de la coordination de la réponse de l'UE à la pandémie de COVID-19 lors de leurs vidéoconférences et lors du Conseil européen. Dans la lutte contre la COVID-19, il demeure essentiel de renforcer la préparation et la coopération entre les pays de l'UE, d'accélérer les efforts de vaccination et de promouvoir la solidarité européenne. Certificat COVID numérique de l'UE L'UE va introduire un certificat COVID numérique de l'UE dans le but de faciliter la libre circulation en toute sécurité pendant la pandémie de COVID-19. Ce certificat, qui sera disponible sur support numérique et papier, apporte la preuve qu'une personne a été vaccinée contre la COVID-19, a reçu un résultat de test négatif ou s'est rétablie de la certificat sera mis en circulation d'ici le 1er juillet et sera délivré gratuitement. Il ne s'agit pas d'une condition préalable à l'exercice des droits de la libre circulation, ni d'un document de de rendre le dépistage plus abordable et plus accessible pour les citoyens, les États membres sont encouragés à faire en sorte que les tests soient largement disponibles. 100 millions d'euros seront mis à disposition pour l'achat de tests au titre de l'instrument d'aide d'urgence et des fonds supplémentaires pourraient être mobilisés, sous réserve de l'approbation des autorités appartient aux gouvernements nationaux de décider si les voyageurs en possession d'un certificat doivent se soumettre à une quarantaine ou à un dépistage. Les États membres devraient s'abstenir d'imposer des restrictions de déplacement supplémentaires, telles que le dépistage ou la quarantaine, à moins qu'elles ne soient proportionnées et nécessaires pour préserver la santé publique. S'ils décident d'instituer des restrictions de déplacement, les États membres doivent en informer les autres États membres et la Commission, si possible 48 heures à l'avance. Ils doivent préciser les raisons de ces restrictions, leur portée, la date de début des mesures et leur durée. Ces informations devraient être publiées 24 heures avant l'entrée en vigueur des période de mise en œuvre progressive de six semaines est prévue, au cours de laquelle les citoyens dont les certificats ont été émis avant le 1er juillet pourront voyager à l'intérieur de l'UE à l'aide desdits certificat COVID numérique de l'UE sera délivré pour des vaccinations au moyen de n'importe lequel des vaccins approuvés par l'Agence européenne des médicaments EMA, mais les États membres ont également la possibilité d'accepter les certificats de vaccination délivrés pour des vaccins qui ont reçu une autorisation nationale ou qui ont achevé le protocole d'autorisation d'utilisation d'urgence de l' les tests PCR et les tests rapides de détection d'antigènes seront acceptés comme preuve d'un résultat de test négatif. Seuls les tests PCR seront acceptés comme preuve de rétablissement. Les tests rapides de détection d'antigènes, les tests sérologiques ou d'autres méthodes validées pourraient être acceptés ultérieurement lorsque des données scientifiques seront États membres doivent mettre en place des garanties solides conformément aux règles de protection des données de l'UE. Il n'y aura pas de base de données centralisée de l' cadre juridique du certificat comprend deux règlements. Le premier concerne les citoyens de l'Union et les membres de leur famille et le second, les ressortissants de pays tiers séjournant ou résidant légalement dans l'espace à ces règlements, il sera possible d'utiliser le certificat dans tous les États membres de l'UE, ainsi qu'en Islande, au Liechtenstein, en Norvège et en Suisse. Le certificat sera également ouvert à des initiatives développées à l'échelle mondiale. Certificat COVID numérique de l'UE fonctionnement 5 dimensions de la coopération entre l'UE et les États membres contre la COVID-19Il y a une belle histoire à raconter sur la manière dont l'UE et ses États membres travaillent en équipe pour aider les citoyens à faire face à la pandémie de COVID-19. Qu'il s'agisse de garantir l'accès à des vaccins sûrs et efficaces, d'envoyer du matériel médical là où il est le plus nécessaire ou encore de prendre en charge des patients d'autres pays; qu'il s'agisse de protéger l'emploi et les travailleurs ou encore de venir en aide aux pays partenaires dans le monde entier, les pays de l'UE ont fait tout leur possible pour s'entraider. Récit numérique 5 dimensions de la coopération entre l'UE et les États membres contre la COVID-19 Mise au point d'un vaccin sûr contre la COVID-19 La vaccination contre la COVID-19 a débuté le 27 décembre 2020 dans les pays de l'UE. La vaccination joue un rôle central pour sauver des vies, contenir la pandémie, protéger les systèmes de santé et contribuer à la relance de notre économie. Les vaccins contre la COVID-19 approuvés dans l'UE doivent satisfaire aux mêmes normes rigoureuses en matière de qualité, de sécurité et d'efficacité des vaccins que tout autre vaccin dans l'UE, et le contexte de la pandémie ou son urgence n'y changent rien. Vaccins contre la COVID-19 principaux faits Agence européenne des médicaments Comment l'UE garantit un vaccin contre la COVID-19 sûr et efficace pour tous informations générales Élaboration de stratégies nationales de vaccinationAlors que l'UE et ses États membres collaborent en vue de permettre aux citoyens de l'UE d'avoir accès à des vaccins sûrs contre la COVID-19, une vaccination réussie dans toute l'Europe est essentielle pour mettre un terme à la pandémie. À cette fin, il est nécessaire de veiller à ce que, dès que des vaccins sûrs et efficaces seront disponibles, les États membres de l'UE soient entièrement prêts à les déployer, au moyen de stratégies nationales de fois que les vaccins contre la COVID-19 seront disponibles, que leur sécurité et leur efficacité auront été établies et qu'ils auront été autorisés au niveau de l'UE, tous les États membres y auront accès en même temps et dans les mêmes la demande des pays de l'UE, le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies recueille des données et suit l'évolution de la vaccination contre la COVID-19 dans l'UE. Suivi de la progression de la vaccination contre la COVID-19 Centre européen de prévention et de contrôle des maladies Rapport hebdomadaire sur la progression de la vaccination contre la COVID-19 Centre européen de prévention et de contrôle des maladies Applications de recherche des contacts Le téléchargement et l'utilisation d'applications mobiles de recherche des contacts peuvent contribuer à accélérer la recherche des contacts traditionnelle et à remonter efficacement la chaîne de trouverez des liens pour télécharger les applications des États membres de l'UE en cliquant ici Applications nationales de recherche des contacts Dépistage et recherche des contactsLe dépistage est un outil déterminant pour ralentir la propagation du virus et freiner la pandémie. Le 21 janvier 2021, le Conseil a adopté une recommandation établissant un cadre commun pour l'utilisation de tests rapides de détection d'antigènes et la reconnaissance mutuelle des résultats des tests de dépistage de la COVID-19 dans l'UE. En application de la recommandation, les États membres devraientcontinuer à recourir aux tests rapides de détection d'antigènes pour renforcer la capacité globale de dépistagereconnaître mutuellement les résultats d'une sélection de tests rapides de détection d'antigènesveiller à ce que les tests rapides de détection d'antigènes soient effectués par du personnel de santé formé ou par des opérateurs formésreconnaître mutuellement les résultats des tests RT-PCR effectués par des organismes de santé nationaux certifiésconvenir d'un ensemble commun de données à inclure dans le formulaire pour les certificats des résultats de testsLes représentants des pays de l'UE au sein du comité de sécurité sanitaire sont convenus d'une liste commune de tests rapides de détection d'antigènes mutuellement reconnus et d'un ensemble standardisé de données pour les certificats des résultats des tests. Recommandation du Conseil relative à un cadre commun pour l'utilisation et la validation de tests rapides de détection d'antigènes et la reconnaissance mutuelle des résultats des tests de dépistage de la COVID-19 dans l'UE, 21 janvier 2021 Liste commune des tests rapides de détection d'antigènes de la COVID-19 mutuellement reconnus et ensemble commun de données des résultats de tests de dépistage de la COVID-19 comité de sécurité sanitaire, 17 février 2021 En 2020, la Commission européenne a adopté deux recommandations visant à promouvoir une approche commune et un dépistage efficacesur les stratégies de dépistage de la COVID-19, invitant les États membres à présenter des stratégies nationalessur l'utilisation de tests rapides d'antigènes pour le diagnostic de la COVID-19, appelant à la validation et à la reconnaissance mutuelle des tests et de leurs résultats entre les pays de l'UE Recommandation sur les stratégies de dépistage de la COVID-19, y compris l'utilisation de tests rapides de détection d'antigènes Commission européenne, 28 octobre 2020 Recommandation relative à l'utilisation de tests rapides de détection d'antigènes pour le diagnostic de l'infection par le SARS-CoV-2 Commission européenne, 18 novembre 2020 L'UE mobilise en outre 100 millions d'euros pour acheter des tests rapides de détection des antigènes et les fournir aux pays de l'UE au titre de l'instrument d'aide d'urgence, et lance en parallèle une procédure de passation conjointe de marchés afin d'assurer une deuxième voie d' d'accroître les capacités de dépistage dans sept États membres Autriche, Allemagne, Grèce, Italie, Malte, Portugal et Espagne, l'UE a également signé un accord avec la Fédération internationale des sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge IFCR. Grâce à cet accord, l'UE contribue à raison de 35,5 millions d'euros, financés par l'instrument d'aide d'urgence, à soutenir la formation du personnel à la collecte et à l'analyse d'échantillons ainsi qu'à la réalisation de tests de dépistage, en particulier au moyen d'équipements mobiles. Le Conseil encourage le renforcement de la coopération pour le recours aux tests rapides de détection d'antigènes et la reconnaissance mutuelle des résultats des tests de dépistage de la COVID-19 communiqué de presse, 21 janvier 2021 Assurer la fourniture d'équipements médicauxL'UE collabore avec ses États membres pour assurer la fourniture d'équipements de protection individuelle et d'équipements médicaux dans toute l'Europe au moyende la passation conjointe de marchés publics pour les masques et les autres équipements de protection individuellede contacts étroits avec l'industrie européenne pour convertir la production et accroître la fourniture de tous les équipements nécessairesd'exportations réglementées d'équipements de protection individuelle depuis l'UE pour assurer l'approvisionnement de tous les États membresde voies prioritaires pour faciliter la libre circulation des marchandises et des personnes qui doivent franchir les frontièresde normes européennes harmonisées et librement accessibles en matière d'équipements médicaux afin de faciliter l'augmentation de la production Soutien de la santé publique dans le cadre de la lutte contre la COVID-19 Commission européenne Soutien en cas d'urgence Mécanisme de protection civile de l'UEL'UE aident les États membres au moyen du mécanisme de protection civile de l'Union comme suiten coordonnant le déploiement d'équipes médicales dans les zones les plus touchéesen facilitant l'approvisionnement en équipements de protection supplémentaires, en particulier de masques chirurgicauxen activant le Centre de coordination de la réaction d'urgence, destiné à coordonner l'aide 24h/24 et 7 jours sur 7en créant une nouvelle réserve européenne commune de matériel médical d'urgence, comprenant notamment des respirateurs, des masques de protection et du petit matériel de laboratoire, afin d'aider les pays de l'UE qui en ont besoin RescEUEn 2020, le mécanisme de protection civile de l'UE a été déclenché à 100 reprises, dont 85 fois en raison de la pandémie de COVID-19. Coordination européenneEn l'espace de quelques semaines après le début de l'épidémie de COVID-19 en Europe, les institutions de l'UE ont rapidement mis en place plusieurs mécanismes visant à coordonner la réaction de l'UE et à aider les États membres à lutter contre la pandémie et ses conséquences. À mesure que la pandémie se développe, l'UE et ses États membres continuent de se coordonner régulièrementle Conseil a activé le dispositif intégré de l'UE pour une réaction au niveau politique dans les situations de crise IPCR en organisant des tables rondes hebdomadaires avec la participation d'institutions de l'UE, d'experts et d'agences de l'UE et de représentants des États membres touchésla Commission européenne et le Conseil facilitent une coordination et des contacts permanents entre les ministères nationaux concernésle président du Conseil européen tient des vidéoconférences avec les dirigeants de l'UEle Centre européen de prévention et de contrôle des maladies ECDC procède à des évaluations rapides des risques et à des mises à jour épidémiologiques en ce qui concerne la population de l'UE. Dernier rapport sur l'évaluation des risques ECDC Feuille de route européenne pour la levée des mesures visant à contenir la propagation de la COVID-19Différentes mesures de confinement ont été mises en place par les pays de l'UE pour contenir la propagation du virus et aider les systèmes de soins de santé à faire face à la pandémie de l'amélioration de la situation générale sur le plan sanitaire, tous les États membres ont levé certaines des mesures qui s'appliquaient au niveau national ou régional. Il s'agissait notamment de lever progressivement les contrôles aux frontières et de rétablir complètement la libre circulation des personnes, qui a été limitée en raison de la 15 avril 2020, le président Michel et la présidente von der Leyen ont présenté une feuille de route européenne commune pour la levée des mesures visant à contenir la propagation de la COVID-19 feuille de route commune pour la levée des mesures visant à contenir la propagation de la COVID-19 Lutte contre la désinformation concernant la COVID-19L'UE est par ailleurs résolue à lutter contre la désinformation concernant le virus au moyen d'une communication transparente, intervenant à temps et fondée sur des données factuelles. Les informations trompeuses sur les soins de santé, les canulars dangereux comportant de fausses allégations, les théories conspirationnistes et les cas de fraude à la consommation mettent en péril la santé 10 juin 2020, la Commission européenne et le haut représentant Josep Borrell ont publié une communication conjointe sur la lutte contre la désinformation concernant la COVID-19. En savoir plus sur l'action de l'UE pour lutter contre la désinformation concernant la COVID-19 Sites web des États membres sur la COVID-19 L'avenir "L'UE pour la santé" EU4HealthLe programme "l'UE pour la santé" est le nouveau programme de l'UE dans le domaine de la santé pour la période 2021-2027. La pandémie de COVID-19 a des conséquences considérables sur les patients, le personnel médical et de santé et les systèmes de santé en Europe. Ce programme constitue une réponse forte à la pandémie de COVID-19, mais continue également de mettre l'accent sur les actions à long terme menées par l'UE dans le domaine de la santé. Il vise à améliorer la santé publique dans l'UE et à faire en sorte que l'Union soit mieux préparée à faire face aux futures crises programme investira milliards d'euros, en fournissant un financement aux entités éligibles, aux organisations de santé et aux ONG de pays de l'UE ou de pays tiers associés au objectifs du programme sont les suivantsaméliorer et renforcer la santé dans l'Unionprotéger les citoyens des menaces transfrontières graves sur la santéaméliorer la disponibilité et l'accessibilité, à un prix abordable, des médicamentsrenforcer les systèmes de santé et leur résilience et améliorer l'utilisation efficace des ressources Programme "L'UE pour la santé" EU4Health Commission européenne Quel est le rôle de l'UE dans la politique de santé publique?Les États membres de l'UE sont responsables de l'organisation et de la fourniture des services de santé et des soins médicaux. Le rôle de l'UE dans le cadre de la politique de santé complète donc les politiques savoir plus sur ce que fait l'UE en ce qui concerne les droits des patients en matière de soins de santé transfrontaliers, les médicaments et dispositifs médicaux et les menaces transfrontières graves sur la santé Politique de l'UE en matière de santé informations générales
Le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies est une agence européenne ayant pour mission d’identifier, d’évaluer et de communiquer les menaces actuelles et émergentes pour la santé humaine posées par les maladies infectieuses. Il est possible de faire un stage au Centre européen de prévention et de contrôle des maladies pour une durée allant de trois à six mois. Deux périodes de stage sont proposées chaque année la première période débute aux environs de mars/avril, il faut alors postuler avant le 30 janvier. la seconde période débute à l’automne, il faut alors postuler avant le 30 avril. Ces stages s’adressent à de jeunes européens certaines places peuvent être accordées à des étudiants non-européens diplômés d’un bac+3 au minimum dont les études sont ou ont été liées aux domaines suivants Maladies infectieuses Microbiologie Santé publique Épidémiologiques Statistiques et modélisation appliquées aux maladies infectieuses Sciences sociales Communication scientifique ou communication du risque Informatique médical Les candidats ayant des formations dans d’autres domaines tels que le droit, le management, les technologies de l’information, la communcation interne, les ressources humaines peuvent eux aussi envoyer leur candidature. Une très bonne maîtrise de l’anglais est requise. Les étudiants ayant déjà bénéficié d’une expérience dans une institution européenne ne peuvent pas postuler. Les stagiaires du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies percevront une indemnité mensuelle légèrement supérieure à 1200 euros. Une partie des frais de déplacement du domicile du candidat jusqu’au lieu de stage pourra être prise en charge. L’intégralité de la procédure de candidature est disponible ici.
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